
Maurice Merleau-Ponty. Photographie via Wikimédia
La folie de la vision
Michel de Certeau propose une lecture de Le visible et l’invisible de Maurice Merleau-Ponty (1964) qui insiste sur la dimension de « foi perceptive » dans la vision, folle à bien des égards, et qui ouvre la philosophie à l’expérience littéraire, qui « trace dans la langue l’insensé de la vision ».
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