La Maladie de Sachs, de Michel Deville
Pour Michel Estève, l’adaptation par Deville du roman éponyme de Martin Winckler sur la vie quotidienne d’un médecin généraliste de province s’imposa comme une totale réussite. Dans un récit constamment tendu par l’ellipse, le montage – défini ici non comme un art de la rupture mais du raccord – rend sensibles les liens qui unissent en permanence praticiens et malades.
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