
Aki Ollikainen, La Faim blanche
Pour son premier roman, le Finlandais Aki Ollikainen fait revivre, d’une écriture serrée et sans complaisance, une page fondatrice de l’histoire de son pays, la famine qui entre 1866 et 1868 a conduit à la mort de près de 15 % de la population, imputable à la conjonction de deux mauvaises récoltes successives et d’une sévère politique d’austérité.